couplepisciacaise

Depuis 2011, Guy et Sylvie sont de toutes les éditions de La Pisciacaise. Mais pas de la même manière. Pendant que monsieur court, madame est bénévole. Récits croisés.

Sylvie, bénévole enthousiaste

En 2011, Sylvie a eu un vrai coup de foudre pour la Pisciacaise. « Mon mari courait, j’ai eu envie de participer à l’événement et je me suis inscrite comme bénévole, raconte celle qui aussi pris part à quelques randonnées. Et j’ai été frappé par le côté convivial, plein de bonne humeur de cette manifestation. Avec les autres bénévoles, nous sommes les petites fourmis qui donnons vie au village. Malgré l’ampleur qu’a pris la course, il existe toujours la même ambiance : ça donne même de la pêche ! »

Au fil des ans, des liens se sont créés : « On retrouve des amis parmi les autres bénévoles ; on a aussi appris à connaître les organisateurs qui nous chouchoutent, sourit Sylvie qui s’occupe du vestiaire. Et même avec les concurrents, il se passe quelque chose : souvent ils nous font part de leur ressenti, de leur joie ou de leur déception sur leurs temps. Avec eux, on participe à la course. »

Cette année encore, Sylvie sera au rendez-vous : « Depuis 2011, le dernier week-end de mars est réservé pour la Pisciacaise ! » 

 

Guy, « Ma course de référence »

« La première fois que j’ai couru 10km, c’était à La Pisciacaise », sourit Guy, qui a connu toutes les éditions. « Je venais d’arriver sur Poissy, de reprendre le sport et de rejoindre le club de Triathlon. La Pisciacaise est devenue ma course de référence. Je l’ai terminée en 52 minutes et j’ai progressivement amélioré mon temps pour faire 46 minutes il y a deux ans ».

Si Guy a manqué la course 2016 en raison d’une blessure – ce qui ne l’a pas empêché d’y participer en tant que bénévole – il compte bien se rattraper cette année en courant les 10km le matin… et en participant au bike&run l’après-midi. « Pour participer à beaucoup de courses, je peux dire qu’il y a vraiment une très belle ambiance à La Pisciacaise, très familiale, souligne le Pisciacais de 46 ans. Et sportivement il y en a pour tous les niveaux. Sur la course, c’est super agréable de faire la première partie en ville où l’on croise les spectateurs puis de pouvoir courir dans le cadre privilégié de la forêt. C’est très sympa ! ». 

Restez connecté